Durant la grossesse, lors de l'accouchement puis pendant l’enfance et tout au long de la vie, des «traumatismes» physiques ou émotionnels peuvent venir entraver les connexions cérébrales qui permettent d'acquérir et de maintenir un équilibre global harmonieux.

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On peut citer notamment : stress de la maman durant la grossesse, accouchement instrumentalisé (ventouse, forceps), cordon autour du cou, traumatismes physiques (accidents) et émotionnels (décès, viol, violence, stress de tout genre, manque d'affection).

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Egalement, le bébé, puis l'enfant peut avoir manquer l'occasion d'effectuer certains mouvements rythmiques naturels pour de multiples raisons (césarienne, absence d'allaitement, longues périodes en poussette/couffin/parc/trotteur).

 

L'évolution des réflexes peut alors être entravée par le fait que certains d'entre-eux n'émergent pas du tout, ne s’intègrent pas ou réapparaissent. N'ayant pas pu jouer leur rôle au moment initialement prévu par la nature, ces mouvements réflexes demeurent toujours actifs, impliquant la mise en place de mécanismes de compensation pour pouvoir malgré tout évoluer et avancer dans la vie.

 

Lorsque ces "béquilles" sont bien intégrées et jouent leur rôle correctement, sans que le quotidien en soit impacté, il n'est pas forcément nécessaire de s'en préoccuper, au risque de créer un déséquilibre induisant lui-même un stress peu pertinent.

 

A contrario, lorsque les compensations sont absentes ou qu'elles ne sont pas adaptées, des troubles et des difficultés de tout ordre peuvent apparaître. Il peut alors être utile de s'engager dans un travail de rééducation des réflexes primitifs afin de recréer les connexions neuronales initialement prévues et permettre un fonctionnement physique et émotionnel plus aisé et harmonieux.

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Voici une liste non-exhaustive des domaines et difficultés pouvant être abordés avec la rééducation des réflexes primitifs :

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